đ Analyse Scientifique Et Technique D Une Installation
rĂ©unionsdu comitĂ© scientifique, et les monographies Ă©laborĂ©es dans le cadre de ces travaux. Ce rapport ne vise pas Ă dresser un diagnostic exhaustif du systĂšme logistique en France ni Ă proposer . directement des pistes dâaction. Il se limite Ă des Ă©lĂ©ments dâanalyse sur plusieurs aspects de ce sujet
E1â Ăpreuve scientifique et technique U11 â Analyse scientifique et technique dâune installation DurĂ©e : 4h Coefficient : 3 Page 5/9 Question 2 : Conditionnement dâair 2.1) Placer la tempĂ©rature Ă©quivalente de surface (T es) 2.2) Tracer lâĂ©volution de refroidissement. TES = air 2.3) DĂ©terminer lâefficacitĂ© de la batterie froide.
Ellelâest dâautant plus que la police technique et scientifique est une voie qui attire. Elle est un secteur de plus en plus prisĂ© par les Ă©tudiants, mais Ă©galement par des chimistes, biologistes ou informaticiens dĂ©jĂ dans la vie active qui cherchent un nouveau parcours. En France, statistiquement, 1 intervention de police technique et scientifique est
QUEsoit constituĂ©e une commission scientifique et technique chargĂ©e dâanalyser les Ă©vĂ©nements relatifs Ă la tempĂȘte de verglas survenue du 5 au 9 janvier 1998, ainsi que lâaction des divers intervenants et de faire toute recommandation utile pour lâavenir; QUE cette commission soit composĂ©e de 6 membres;
7490.19 Autres services scientifiques et techniques de conseil n.c.a. Cette sous-catégorie comprend: les services de conseil scientifique fournis par des mathématiciens, statisticiens, etc. les services fournis par des agronomes et des spécialistes en économie agricole; les services fournis par des experts-métreurs
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II4- MĂ©thode de calcul du bilan des puissances II-4-1-Les rĂ©cepteurs : a. L'Ă©clairage : La puissance d'utilisation est donnĂ©e par la formule suivante : P : la somme des puissances de tous les luminaires en Ku : coefficient d'utilisation oĂč Ku=1. Ks
Réaliser l'intégration d'éléments relevant d'une ou de plusieurs techniques (construction mécanique, hydraulique, visualisation, caméra rapide, photographie, microscopie, optique..) dans un ensemble complexe. ⹠Planifier une réalisation et les approvisionnements associés, gérer les relations avec les fournisseurs.
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jCwH8. Le sujet, le document complĂ©mentaire et le corrigĂ© du Bac Pro TISEC pour l'Ă©preuve d'analyse scientifique et technique d'une installation de 2010. Scribd Il n'y a aucune Ă©valuation pour l'instant. Soyez le premier Ă l'Ă©valuer Donnez votre Ă©valuation Sujet et corrigĂ© - Bac Pro TISEC - analyse scientifique et technique d'une installation - 2010 * Champs obligatoires Votre commentaire Vous ĂȘtes ĂlĂšve Professeur Parent Email Pseudo Votre commentaire < 1200 caractĂšres Vos notes ClartĂ© du contenu 5 Ă©toiles 4 Ă©toiles 3 Ă©toiles 2 Ă©toiles 1 Ă©toiles UtilitĂ© du contenu 5 Ă©toiles 4 Ă©toiles 3 Ă©toiles 2 Ă©toiles 1 Ă©toiles QualitĂ© du contenu 5 Ă©toiles 4 Ă©toiles 3 Ă©toiles 2 Ă©toiles 1 Ă©toiles LycĂ©e Bac pro
ANNEXEPRESCRIPTIONS GĂNĂRALES APPLICABLES AUX INSTALLATIONS CLASSĂES POUR LA PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT SOUMISES Ă AUTORISATION AU TITRE DES RUBRIQUES 3700 OU 3710 POUR LESQUELLES LA CHARGE POLLUANTE PRINCIPALE PROVIENT D'UNE OU PLUSIEURS INSTALLATIONS RELEVANT DE LA RUBRIQUE 37001. DĂ©finitions et acronymesAu sens du prĂ©sent arrĂȘtĂ©, on entend par Terme utilisĂ©DĂ©finitionChromeLe chrome, exprimĂ© en Cr, comprend tous les composĂ©s inorganiques et organiques du chrome, dissous ou liĂ©s Ă des organiqueTout composĂ© contenant au moins l'Ă©lĂ©ment carbone et un ou plusieurs des Ă©lĂ©ments suivants hydrogĂšne, halogĂšnes, oxygĂšne, soufre, phosphore, silicium ou azote, Ă l'exception des oxydes de carbone et des carbonates et bicarbonates de type CType de crĂ©osote dont les spĂ©cifications figurent dans la norme NF EN 13991 1.Eaux de ruissellementEaux de pluie qui s'Ă©coulent sur des sols ou des surfaces impermĂ©ables telles que les voiries internes, les zones de stockage, les toits, etc. et qui ne s'infiltrent pas dans le gazeuxLe gaz qui se dĂ©gage d'un procĂ©dĂ©, d'un Ă©quipement ou d'une zone et qui est soit dirigĂ© vers un traitement, soit directement Ă©vacuĂ© dans l'air par une rĂ©siduairesRejet gazeux final contenant des composĂ©s organiques volatils ou d'autres polluants et rejetĂ© dans l'air par une cheminĂ©e ou d'autres Ă©quipements de en continuMesures rĂ©alisĂ©es Ă l'aide d'un systĂšme de mesure automatisĂ© installĂ© Ă demeure sur le site aux fins de la surveillance continue des Ă©missions norme NF EN 14181 1.Moyenne horaire ou demi-horaire valideUne moyenne horaire ou demi-horaire est considĂ©rĂ©e comme valide en l'absence de toute maintenance ou de tout dysfonctionnement du systĂšme de mesure de gestion des solvantsBilan massique des solvants, effectuĂ© au moins une fois par an, visĂ© Ă l'article 28-1 de l'arrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1998 modifiĂ© du boisActivitĂ©s destinĂ©es Ă protĂ©ger le bois et les produits dĂ©rivĂ©s du bois contre les attaques de champignons, de bactĂ©ries ou d'insectes et les dĂ©gĂąts causĂ©s par l'eau, les intempĂ©ries ou le feu, Ă garantir la conservation Ă long terme de l'intĂ©gritĂ© structurelle, ainsi qu'Ă renforcer la rĂ©sistance du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du Ă base aqueuseType des produits chimiques utilisĂ©s pour le traitement du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du bois dans lesquels l'eau remplace tout ou partie du solvant Ă base de solvants organiquesType des produits chimiques utilisĂ©s pour le traitement du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du chimiques de traitementProduits chimiques utilisĂ©s pour la prĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois, tels que les produits biocides, les produits chimiques utilisĂ©s pour l'impermĂ©abilisation par exemple, huiles, Ă©mulsions et les retardateurs de flamme. Incluent Ă©galement le milieu de suspension qui transporte les substances actives par exemple, eau, solvant organique.Solvant organiqueTout composĂ© organique volatil utilisĂ© pour l'un des usages suivants a seul ou en association avec d'autres agents, sans subir de modification chimique, pour dissoudre des matiĂšres premiĂšres, des produits ou des dĂ©chets ;b comme agent de nettoyage pour dissoudre des salissures ;c comme dissolvant ;d comme dispersant ;e comme correcteur de viscositĂ© ;f comme correcteur de tension superficielle ;g comme plastifiant ;h comme agent majeure d'une unitĂ©Modification profonde de la conception ou de la technologie d'une unitĂ©, avec adaptations majeures ou remplacement des procĂ©dĂ©s et/ou des techniques de rĂ©duction des Ă©missions et des Ă©quipements partie d'une installation dans laquelle se dĂ©roule une activitĂ© Ă©numĂ©rĂ©e Ă l'annexe I, point de la directive 2010/75/UE et toute autre activitĂ© directement associĂ©e ayant un effet sur la consommation et/ou les Ă©missions. Il peut s'agir d'unitĂ©s nouvelles ou d'unitĂ©s existanteUne unitĂ© qui n'est pas une unitĂ© nouvelleUne unitĂ© autorisĂ©e pour la premiĂšre fois sur le site de l'installation aprĂšs le 9 dĂ©cembre 2020, ou le remplacement complet d'une unitĂ© aprĂšs le 9 dĂ©cembre sensibleZone nĂ©cessitant une protection spĂ©ciale, telles que - Les zones rĂ©sidentielles ;- Les zones oĂč se dĂ©roulent des activitĂ©s humaines par exemple, lieux de travail, Ă©coles, garderies, zones de loisirs, hĂŽpitaux ou maisons de repos situĂ©s Ă proximitĂ©.1 Les normes NF EN sont rĂ©putĂ©es permettre l'obtention de donnĂ©es d'une qualitĂ© scientifique de organique volatil. Tout composĂ© organique ainsi que la fraction de crĂ©osote ayant une pression de vapeur de 0,01 kPa ou plus Ă une tempĂ©rature de 293,15 K ou ayant une volatilitĂ© correspondante dans les conditions d'utilisation organique volatil total, exprimĂ© en C dans l'air.HAPHydrocarbures aromatiques Research Centre. Centre commun de recherche scientifique et technique de l'Union d'azote somme du monoxyde d'azote NO et du dioxyde d'azote NO2, exprimĂ©e en sur les produits biocides [rĂšglement UE n° 528/2012 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 22 mai 2012 concernant la mise Ă disposition sur le marchĂ© et l'utilisation des produits biocides].SMESystĂšme de management limite d' Evaluation des Ă©missions dans les effluents gazeuxLes valeurs limites d'Ă©missions pour les Ă©missions sous forme de gaz rĂ©siduaires rĂ©sultant des procĂ©dĂ©s de traitement Ă base de crĂ©osote et/ou de produits chimiques Ă base solvantĂ©e indiquĂ©es au point 14 dĂ©signent des concentrations, exprimĂ©es en masse de substances Ă©mises par volume de gaz rĂ©siduaire dans les conditions standard suivantes gaz secs Ă une tempĂ©rature de 273,15 K et Ă une pression de 101,3 kPa, sans correction pour la teneur en oxygĂšne, concentrations exprimĂ©es en mg/ ce qui concerne les pĂ©riodes d'Ă©tablissement des valeurs moyennes des valeurs limites d'Ă©missions pour les Ă©missions sous forme de gaz rĂ©siduaires, les dĂ©finitions suivantes s' de mesurePĂ©riode d'Ă©tablissement de la moyenneDĂ©finitionEn continuMoyenne journaliĂšreMoyenne sur un jour calculĂ©e Ă partir des moyennes horaires ou demi-horaires validesPĂ©riodiqueMoyenne sur la pĂ©riode d'Ă©chantillonnageValeur moyenne de trois mesures consĂ©cutives d'au moins 30 minutes chacune 11 Si, en raison de contraintes liĂ©es Ă l'Ă©chantillonnage ou Ă l'analyse et/ou du fait des conditions d'exploitation, un Ă©chantillonnage/une mesure de 30 minutes et/ou une moyenne de trois mesures consĂ©cutives ne conviennent pas pour un paramĂštre, quel qu'il soit, une pĂ©riode d'Ă©chantillonnage/de mesurage plus appropriĂ©e peut ĂȘtre SystĂšme de management environnementalL'exploitant met en place et applique un systĂšme de management environnemental SME appropriĂ© prĂ©sentant toutes les caractĂ©ristiques suivantes i. Engagement, initiative et responsabilitĂ© de l'encadrement, y compris de la direction, en ce qui concerne la mise en Ćuvre d'un SME Analyse visant notamment Ă dĂ©terminer le contexte dans lequel s'insĂšre l'organisation, Ă recenser les besoins et les attentes des parties intĂ©ressĂ©es, Ă mettre en Ă©vidence les caractĂ©ristiques de l'installation qui sont associĂ©es Ă d'Ă©ventuels risques pour l'environnement ou la santĂ© humaine, ainsi qu'Ă dĂ©terminer les exigences lĂ©gales applicables en matiĂšre d' DĂ©finition d'une politique environnementale intĂ©grant le principe d'amĂ©lioration continue des performances environnementales de l' DĂ©finition d'objectifs et d'indicateurs de performance pour les aspects environnementaux importants, y compris pour garantir le respect des exigences lĂ©gales Planification et mise en Ćuvre des procĂ©dures et actions nĂ©cessaires y compris les actions correctives et prĂ©ventives si nĂ©cessaire pour atteindre les objectifs environnementaux et Ă©viter les risques DĂ©termination des structures, des rĂŽles et des responsabilitĂ©s en ce qui concerne les aspects et objectifs environnementaux et la mise Ă disposition des ressources financiĂšres et humaines Garantir par exemple, par l'information et la formation la compĂ©tence et la sensibilisation requises du personnel dont le travail est susceptible d'avoir une incidence sur les performances environnementales de l' Communication interne et Inciter les travailleurs Ă s'impliquer dans les bonnes pratiques de management Etablissement et tenue Ă jour d'un manuel de gestion et de procĂ©dures Ă©crites pour superviser les activitĂ©s ayant un impact significatif sur l'environnement, ainsi que de registres Planification opĂ©rationnelle et contrĂŽle des procĂ©dĂ©s Mise en Ćuvre de programmes de maintenance Protocoles de prĂ©paration et de rĂ©action aux situations d'urgence, y compris la prĂ©vention ou l'attĂ©nuation des incidences environnementales dĂ©favorables des situations d' Lors de la reconception d'une nouvelle installation ou d'une partie d'installation, prise en considĂ©ration de ses incidences sur l'environnement sur l'ensemble de son cycle de vie, qui inclut la construction, l'entretien, l'exploitation et la mise Ă l'arrĂȘt Mise en Ćuvre d'un programme de surveillance et de mesurage ; si nĂ©cessaire, des informations peuvent ĂȘtre obtenues dans le rapport de rĂ©fĂ©rence du JRC relatif Ă la surveillance des Ă©missions dans l'air et dans l'eau provenant des installations relevant de la directive sur les Ă©missions RĂ©alisation rĂ©guliĂšre d'une analyse comparative des Audits indĂ©pendants internes dans la mesure du possible et externes rĂ©alisĂ©s pĂ©riodiquement pour Ă©valuer les performances environnementales et dĂ©terminer si le SME respecte les modalitĂ©s prĂ©vues et a Ă©tĂ© correctement mis en Ćuvre et tenu Ă Evaluation des causes de non-conformitĂ©, mise en Ćuvre de mesures correctives pour remĂ©dier aux non-conformitĂ©s, examen de l'efficacitĂ© des actions correctives et dĂ©termination de l'existence ou non de cas de non-conformitĂ© similaires ou de cas Revue pĂ©riodique, par la direction, du SME et de sa pertinence, de son adĂ©quation et de son Suivi et prise en considĂ©ration de la mise au point de techniques plus Prise en compte de l'Ă©volution des produits biocides et de la lĂ©gislation s'y rapportant par exemple en ce qui concerne l'autorisation des produits en vertu du RPB en vue d'utiliser les procĂ©dĂ©s les plus respectueux de l' Etablissement d'un plan de gestion des solvants pour le traitement Ă base de solvants et le traitement Ă la crĂ©osote [cf. technique c du point 5].xxiii. Etablissement d'une liste de tous les procĂ©dĂ©s et Ă©quipements de rĂ©duction des Ă©missions qui sont critiques sur le plan environnemental dont la dĂ©faillance pourrait avoir une incidence sur l'environnement [cf. technique c du point 12]. La liste des Ă©quipements critiques est tenue Ă Etablissement de plans de prĂ©vention et de contrĂŽle des fuites et des dĂ©versements, y compris de lignes directrices en matiĂšre de gestion des dĂ©chets pour la maĂźtrise des dĂ©chets rĂ©sultant de dĂ©versements [cf. point 12].xxv. Enregistrement des fuites et dĂ©versements accidentels, et plans d'amĂ©lioration contre-mesures.Le niveau de dĂ©tail et le degrĂ© de formalisation du systĂšme de management de l'environnement sont proportionnĂ©s Ă la nature, la taille et la complexitĂ© de l'installation ainsi qu'aux diffĂ©rentes incidences environnementales installations dont le systĂšme de management environnemental a Ă©tĂ© certifiĂ© pour le pĂ©rimĂštre de l'installation conforme Ă la norme internationale NF EN ISO 14001 ou au rĂšglement CE n° 1221/2009 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations Ă un systĂšme communautaire de management environnemental et d'audit EMAS par un organisme accrĂ©ditĂ© sont rĂ©putĂ©es conformes Ă ces Remplacement des substances nocives et/ou PrĂ©vention et rĂ©duction des Ă©missions de HAP et/ou de solvants et rĂ©duction du risque pour l'environnement liĂ© Ă l'utilisation de produits chimiques de traitementL'exploitant remplace les produits de prĂ©servation Ă base de solvants organiques et/ou la crĂ©osote par des produits de prĂ©servation Ă base aqueuse l'eau tenant lieu de transporteur pour les biocides.L'exploitant remplace les produits chimiques par des produits moins dangereux, sur la base d'un contrĂŽle rĂ©gulier au moins une fois par an visant Ă vĂ©rifier si de nouveaux produits plus sĂ»rs sont Ă©tablit la liste et le descriptif des produits de ces techniques peut ĂȘtre limitĂ©e par les exigences de qualitĂ© ou les spĂ©cifications du produit. Dans ce cas, l'exploitant tient Ă©galement Ă la disposition de l'inspection des installations classĂ©es les justificatifs correspondants ainsi que le rĂ©sultat des Utilisation de crĂ©osoteL'utilisation de procĂ©dĂ©s Ă base de crĂ©osote est interdite, Ă l'exception des seules activitĂ©s autorisĂ©es dans les autorisations de mise sur le marchĂ© accordĂ©es par l'ANSES dans le cadre de la rĂ©glementation sur les produits les procĂ©dĂ©s Ă base de crĂ©osote Ă l'origine d'Ă©missions atmosphĂ©riques de composĂ©s organiques et d'odeurs, l'exploitant utilise des huiles d'imprĂ©gnation Ă faible volatilitĂ© crĂ©osote de type C uniquement.5. Utilisation efficace des ressourcesL'exploitant rĂ©duit la consommation de produits chimiques en utilisant toutes les techniques Ă©numĂ©rĂ©es d'un systĂšme efficace d'application des produits de prĂ©servationLes systĂšmes d'application dans lesquels le bois est immergĂ© dans la solution de prĂ©servation sont plus efficaces que, par exemple, la pulvĂ©risation. L'efficacitĂ© d'application des procĂ©dĂ©s sous vide systĂšme fermĂ© est proche de 100 %. Le choix du systĂšme d'application tient compte de la classe d'utilisation et du niveau de pĂ©nĂ©tration applicable aux unitĂ©s nouvelles ou aux transformations majeures d' et optimisation de la consommation des produits chimiques de traitement pour l'utilisation finale spĂ©cifiqueContrĂŽle et optimisation de la consommation des produits chimiques de traitement - Soit par pesage du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du bois avant et aprĂšs imprĂ©gnation ;- Soit par dĂ©termination de la quantitĂ© de solution de prĂ©servation pendant et aprĂšs l' consommation des produits chimiques de traitement respecte les recommandations des fournisseurs et n'entraĂźne pas de dĂ©passement des valeurs prescrites en matiĂšre de rĂ©tention fixĂ©es dans les normes de qualitĂ© des produits.Applicable d'une maniĂšre de gestion des solvantsBilan massique, Ă©tabli au moins une fois par an, des solvants organiques Ă l'entrĂ©e et Ă la sortie d'une unitĂ©, visĂ© Ă l'article 28-1 de l'arrĂȘtĂ© du 2 fĂ©vrier 1998 modifiĂ© susvisĂ©, quelle que soit la quantitĂ© de solvant applicable aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă base de solvants organiques ou de la et rectification de l'humiditĂ© du bois avant traitementL'humiditĂ© du bois est mesurĂ©e avant traitement par exemple, par dĂ©termination de la rĂ©sistance Ă©lectrique ou par pesĂ©e et rectifiĂ©e si nĂ©cessaire par exemple, par sĂ©chage supplĂ©mentaire du bois, afin d'optimiser le processus d'imprĂ©gnation et de garantir la qualitĂ© requise des applicable lorsque du bois prĂ©sentant un taux d'humiditĂ© spĂ©cifique est RĂ©duction des Ă©missions rĂ©sultant de la livraison, du stockage et de la manutention des produits chimiques de traitementL'exploitant applique la technique a ou b et toutes les techniques c Ă f indiquĂ©es de refoulement des vapeurs vers la cuve ou la citerne du camionLes vapeurs de solvant organique ou de crĂ©osote qui sont refoulĂ©es Ă l'extĂ©rieur du rĂ©servoir de rĂ©ception lors du remplissage de celui-ci sont collectĂ©es et renvoyĂ©es dans la cuve ou la citerne du camion d'oĂč le liquide est de rĂ©cupĂ©ration des vapeursLes vapeurs de solvant organique ou de crĂ©osote qui sont refoulĂ©es Ă l'extĂ©rieur du rĂ©servoir de rĂ©ception lors du remplissage de celui-ci sont collectĂ©es et dirigĂ©es vers un dispositif de traitement comme un filtre Ă charbon actif ou une unitĂ© d'oxydation visant Ă rĂ©duire les pertes par Ă©vaporation dues Ă l'Ă©chauffement des produits chimiques stockĂ©sLorsque l'exposition Ă la lumiĂšre du soleil est susceptible d'entraĂźner l'Ă©vaporation des solvants et de la crĂ©osote stockĂ©s dans des cuves de stockage en surface, celles-ci sont abritĂ©es sous un toit ou revĂȘtues d'une peinture de couleur claire afin de limiter l'Ă©chauffement des solvants et de la des points de distributionLes points de distribution desservant les rĂ©servoirs de stockage situĂ©s Ă l'intĂ©rieur de la zone de rĂ©tention sont sĂ©curisĂ©s et mis Ă l'arrĂȘt lorsqu'ils ne sont pas de prĂ©vention des dĂ©bordements lors du pompageIl s'agit notamment de veiller Ă ce que - L'opĂ©ration de pompage soit supervisĂ©e ;- Pour les grandes quantitĂ©s, les rĂ©servoirs de stockage en vrac sont Ă©quipĂ©s d'avertisseurs acoustiques et/ou optiques de niveau haut, ainsi que de systĂšmes d'arrĂȘt si de stockage fermĂ©sUtilisation de rĂ©servoirs de stockage fermĂ©s pour les produits chimiques de RĂ©duction de la consommation de produits chimiques et d'Ă©nergie ainsi que des Ă©missions de produits chimiques de traitement dans la prĂ©paration et le conditionnement du boisL'exploitant optimise la charge en bois de la cuve de traitement et Ă©vite le piĂ©geage des produits chimiques de traitement par l'application d'une combinaison des techniques indiquĂ©es du bois en paquets au moyen d'entretoisesLes entretoises sont placĂ©es Ă intervalles rĂ©guliers dans les paquets afin de faciliter la circulation des produits chimiques et leur Ă©gouttage aprĂšs d'une maniĂšre des paquets de bois dans les cuves de traitement horizontales classiquesLes paquets de bois sont inclinĂ©s dans la cuve de traitement afin de faciliter la circulation des produits chimiques et leur Ă©gouttage aprĂšs d'une maniĂšre d'autoclaves inclinablesL'ensemble de l'autoclave est inclinĂ© Ă l'issue du traitement de telle sorte que les produits chimiques en excĂšs s'Ă©coulent facilement et puissent ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ©s Ă la base de l' applicable aux unitĂ©s nouvelles ou aux transformations majeures d' optimisĂ© des piĂšces de bois façonnĂ©esLes piĂšces de bois façonnĂ©es sont positionnĂ©es de maniĂšre Ă empĂȘcher le piĂ©geage des produits chimiques de d'une maniĂšre des paquets de boisLes paquets de bois sont arrimĂ©s Ă l'intĂ©rieur de la cuve de traitement afin de limiter le dĂ©placement de piĂšces de bois qui risqueraient de modifier la structure du paquet et de rĂ©duire l'efficacitĂ© de l' d'une maniĂšre de la charge en boisLa charge en bois de la cuve de traitement est optimisĂ©e de maniĂšre Ă obtenir le meilleur rapport entre le bois Ă traiter et les produits chimiques de d'une maniĂšre PrĂ©vention et rĂ©duction des fuites et Ă©missions et rĂ©duction de la consommation d'Ă©nergie dans les procĂ©dĂ©s d'application des produits de PrĂ©vention des fuites et des Ă©missions accidentelles de produits chimiques de traitement lors des procĂ©dĂ©s non rĂ©alisĂ©s sous pressionPour les procĂ©dĂ©s non rĂ©alisĂ©s sous pression, l'exploitant applique une des techniques Ă©numĂ©rĂ©es de traitement Ă double paroi munies de dispositifs automatiques de dĂ©tection des fuitesbCuves de traitement Ă paroi simple, Ă©quipĂ©es d'un systĂšme de rĂ©tention de taille suffisante 1 et rĂ©sistant aux produits de prĂ©servation du bois, d'un carter de protection et d'un dispositif de dĂ©tection automatique des fuites1 Le systĂšme de rĂ©tention dispose d'un volume au moins Ă©gal Ă la plus grande des deux valeurs suivantes - 100 % de la capacitĂ© de la plus grande cuve de traitement ;- 50 % de la capacitĂ© totale des cuves de traitement RĂ©duction des Ă©missions d'aĂ©rosols dues Ă la prĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de produits chimiques Ă base aqueusePour les procĂ©dĂ©s de pulvĂ©risation rĂ©alisĂ©s au moyen de produits chimiques Ă base aqueuse, l'exploitant confine les procĂ©dĂ©s de pulvĂ©risation, recueille les rĂ©sidus de pulvĂ©risation et les rĂ©utilise pour la prĂ©paration de la solution de prĂ©servation du PrĂ©vention et rĂ©duction des Ă©missions de produits chimiques de traitement dues aux procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pressionPour les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pression autoclaves, l'exploitant applique toutes les techniques indiquĂ©es de sĂ©curitĂ© permettant d'empĂȘcher la mise en route du procĂ©dĂ© tant que la porte de l'autoclave n'est pas hermĂ©tiquement fermĂ©eLa porte de l'autoclave est hermĂ©tiquement fermĂ©e dĂšs que le bois est chargĂ© et avant que le traitement ne dĂ©bute. Des systĂšmes automatiques sont prĂ©vus pour empĂȘcher la mise en route de l'autoclave si la porte n'est pas hermĂ©tiquement de sĂ©curitĂ© permettant d'empĂȘcher l'ouverture de l'autoclave lorsqu'il est sous pression et/ou rempli de la solution de prĂ©servationDes dispositifs de sĂ©curitĂ© affichent la pression et indiquent si du liquide est prĂ©sent dans l'autoclave. Ils empĂȘchent l'ouverture de l'autoclave tant qu'il est sous pression et/ou de verrouillage de la porte de l'autoclaveLa porte de l'autoclave est Ă©quipĂ©e d'un systĂšme de verrouillage destinĂ© Ă empĂȘcher l'Ă©coulement des liquides dans le cas oĂč il faudrait ouvrir la porte en urgence. Le systĂšme de verrouillage permet l'ouverture partielle de la porte pour libĂ©rer la pression tout en empĂȘchant l'Ă©coulement des et maintenance des soupapes de sĂ©curitĂ©Les autoclaves sont Ă©quipĂ©s de soupapes de sĂ©curitĂ© pour les protĂ©ger d'une pression excessive. L'air rejetĂ© par les soupapes est dirigĂ© vers un rĂ©servoir de capacitĂ© suffisante. Les soupapes de sĂ©curitĂ© sont inspectĂ©es au moins une fois tous les 6 mois Ă la recherche de signes de corrosion, de contamination ou de montage incorrect et sont nettoyĂ©es et/ou rĂ©parĂ©es selon les tient Ă la disposition de l'inspection des installations classĂ©es la liste et la localisation des soupapes concernĂ©es ainsi que le rĂ©sultat des inspections et des suites qui y sont des Ă©missions dans l'air provenant de l'Ă©chappement de la pompe Ă videL'air extrait des autoclaves par l'orifice de refoulement de la pompe Ă vide est des Ă©missions dans l'air lors de l'ouverture de l'autoclaveUn temps d'attente suffisant est observĂ© entre la dĂ©pressurisation et l'ouverture de l'autoclave afin de permettre l'Ă©gouttage du bois et la condensation des d'un vide final pour Ă©liminer l'excĂšs de produits chimiques Ă la surface du bois traitĂ©Pour Ă©viter l'Ă©gouttage, un vide final est appliquĂ© dans l'autoclave avant ouverture afin d'Ă©liminer les produits chimiques en excĂšs Ă la surface du bois traitĂ©. L'application d'un vide final peut ne pas ĂȘtre nĂ©cessaire si l'Ă©limination de l'excĂšs de produits chimiques peut ĂȘtre obtenue par l'application d'un vide initial RĂ©duction de la consommation d'Ă©nergie dans les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pressionL'exploitant utilise une pompe Ă dĂ©bit variable afin que le systĂšme de traitement consomme moins d'Ă©nergie une fois la pression de service requise atteinte. L'applicabilitĂ© peut ĂȘtre limitĂ©e dans le cas des procĂ©dĂ©s pour lesquels la pression Limitation des dĂ©versements de produits de prĂ©servation du bois dans l'environnementL'exploitant installe une vanne de sectionnement ou un dispositif analogue au niveau des rejets de son rĂ©seau d'eaux PrĂ©vention et rĂ©duction de la contamination du sol et des eaux souterraines due Ă l'entreposage provisoire de bois fraĂźchement traitĂ© conditionnement post-traitement et stockage provisoireL'exploitant laisse le bois traitĂ© s'Ă©goutter pendant un laps de temps suffisant aprĂšs le traitement afin de permettre aux produits chimiques en excĂšs de s'Ă©goutter Ă l'intĂ©rieur de la cuve de ne sort le bois traitĂ© de la zone de rĂ©tention qu'une fois qu'il ne constate plus d'Ă©gouttement de la solution de traitement et que le bois est sec au Gestion des RĂ©duction de la quantitĂ© de dĂ©chets Ă Ă©liminerL'exploitant applique les techniques a et b et une des techniques c et d, ou les deux, indiquĂ©es des dĂ©bris avant traitementLes dĂ©bris sont Ă©liminĂ©s de la surface du bois ou des produits dĂ©rivĂ©s du bois avant et rĂ©utilisation des cires et des huilesLorsque des cires ou des huiles sont utilisĂ©es pour l'imprĂ©gnation, les cires ou huiles en excĂšs provenant des procĂ©dĂ©s d'imprĂ©gnation sont rĂ©cupĂ©rĂ©es et en grandes quantitĂ©s des produits chimiques de traitementLivraison des produits chimiques de traitement dans des cuves afin de rĂ©duire la quantitĂ© d' de conteneurs rĂ©utilisablesLes conteneurs rĂ©utilisables utilisĂ©s pour les produits chimiques de traitement sont restituĂ©s au fournisseur en vue de leur RĂ©duction du risque environnemental liĂ© Ă la gestion des dĂ©chetsL'exploitant stocke les dĂ©chets dans des conteneurs appropriĂ©s ou sur des surfaces impermĂ©ables. Les dĂ©chets dangereux sont stockĂ©s dans une zone de rĂ©tention dĂ©diĂ©e Ă l'abri des SurveillancePour la surveillance, l'exploitant utilise des mĂ©thodes d'analyse lui permettant de rĂ©aliser des mesures fiables, rĂ©pĂ©tables et reproductibles. Les normes mentionnĂ©es sont rĂ©putĂ©es permettre l'obtention de donnĂ©es d'une qualitĂ© scientifique mention contraire, les mesures sont rĂ©alisĂ©es selon les mĂ©thodes prĂ©cisĂ©es dans l'avis sur les mĂ©thodes normalisĂ©es de rĂ©fĂ©rence pour les mesures dans l'air, l'eau et les sols dans les installations classĂ©es pour la protection de l'environnement publiĂ© au Journal Surveillance des rejets dans l'eauL'exploitant surveille les concentrations de polluants dans les eaux usĂ©es et les eaux de ruissellement susceptibles d'ĂȘtre significativement polluĂ©es avant chaque SANDREFrĂ©quence de surveillanceBiocides 1Normes EN disponibles en fonction de la composition des produits biocides-Avant chaque rejetCu 2Plusieurs normes EN1392Avant chaque rejetSolvants 3Normes EN disponibles pour certains solvants-Avant chaque rejetHAP 4NF EN ISO 179937088Avant chaque rejetBenzo[a]pyrĂšne 4NF EN ISO 179931115Avant chaque rejetIndice hydrocarbureNF EN ISO 9377-27007Avant chaque rejet1 Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction de la composition des produits biocides utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.2 La surveillance ne s'applique que si des composĂ©s du cuivre sont utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.3 La surveillance ne s'applique qu'aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă base de solvants organiques. Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction des solvants utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.4 La surveillance ne s'applique qu'aux unitĂ©s utilisant le traitement Ă la Surveillance de la qualitĂ© des eaux souterrainesL'exploitant respecte les dispositions suivantes i. Trois forages, au moins, sont implantĂ©s sur le site dont un en amont hydraulique, les deux autres en aval Tous les six mois, au moins, des prĂ©lĂšvements sont effectuĂ©s dans la nappe et le niveau piĂ©zomĂ©trique de chaque puits est relevĂ©. La frĂ©quence de prĂ©lĂšvement entre les campagnes considĂšre les pĂ©riodes de hautes eaux et basses eaux et est adaptĂ©e en cas de constat d'une pollution. En cas d'absence d'impact sur plusieurs campagnes, une Ă©volution de la frĂ©quence de surveillance peut ĂȘtre fixĂ©e par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral, sans excĂ©der deux ans entre deux L'eau prĂ©levĂ©e fait l'objet de mesures des substances pertinentes susceptibles de caractĂ©riser une Ă©ventuelle pollution de la nappe compte tenu de l'activitĂ© de l'installation. Les rĂ©sultats de mesures sont tenus Ă la disposition de l'inspection des installations classĂ©es. Toute anomalie lui est signalĂ©e dans les meilleurs dĂ©lais. Ces mesures comprennent, en plus des substances pertinentes mentionnĂ©es ci-dessus, au moins les Ă©lĂ©ments suivants Substance/paramĂštre 1NormeCode SANDREFrĂ©quence de surveillanceBiocides 2Des normes EN pourraient ĂȘtre disponibles en fonction de la composition des produits biocides-Une fois tous les 6 moisAsPlusieurs normes EN1369Une fois tous les 6 moisCu1392Une fois tous les 6 moisCr1389Une fois tous les 6 moisSolvants 3Normes EN disponibles pour certains solvants-Une fois tous les 6 moisHAPNF EN ISO 179937088Une fois tous les 6 moisBenzo[a]pyrĂšneNF EN ISO 179931115Une fois tous les 6 moisIndice hydrocarbureNF EN ISO 9377-27007Une fois tous les 6 mois1 La surveillance peut ne pas s'appliquer si la substance concernĂ©e n'est pas et n'a pas Ă©tĂ© utilisĂ©e dans le procĂ©dĂ© et s'il est dĂ©montrĂ© que les eaux souterraines ne sont pas contaminĂ©es par cette substance.2 Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction de la composition des produits biocides qui sont ou qui ont Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le procĂ©dĂ©.3 La surveillance ne s'applique qu'aux unitĂ©s utilisant ou ayant utilisĂ© des produits chimiques de traitement Ă base de solvants organiques. Les substances qui font l'objet d'une surveillance sont dĂ©finies en fonction des solvants utilisĂ©s ou ayant Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le Surveillance des Ă©missions dans les gaz rĂ©siduaires rĂ©sultant des procĂ©dĂ©s de traitement Ă base de crĂ©osote et/ou de produits chimiques Ă base solvantĂ©eLes prescriptions de l'arrĂȘtĂ© du 13 dĂ©cembre 2019 susvisĂ© sont complĂ©ment, l'exploitant surveille les Ă©missions dans les gaz rĂ©siduaires au moins une fois par spĂ©cifiqueNormeFrĂ©quence de surveillanceCOVTPrĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osote et/ou de produits chimiques de traitement Ă base de solvants organiquesNF EN 12619Une fois par anHAP 1PrĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osotePas de norme NF ENUne fois par anNOx 2PrĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osote et/ou de produits chimiques de traitement Ă base de solvants organiquesNF EN 14792Une fois par anCO 2NF EN 15058Une fois par an1 Comprend les substances suivantes acĂ©naphtĂšne, acĂ©naphtylĂšne, anthracĂšne, benzoaanthracĂšne, benzoapyrĂšne, benzobfluoranthĂšne, benzog, h,iperylĂšne, benzokfluoranthĂšne, chrysĂšne, dibenzoa, hanthracĂšne, fluoranthĂšne, fluorĂšne, indĂ©no1,2,3-cdpyrĂšne, naphtalĂšne, phĂ©nanthrĂšne et pyrĂšne.2 La surveillance ne s'applique qu'aux Ă©missions rĂ©sultant du traitement thermique des effluents Emissions dans le sol et les eaux souterrainesL'exploitant applique toutes les techniques Ă©numĂ©rĂ©es ou protection de l'unitĂ© et des Ă©quipementsLes parties de l'unitĂ© oĂč sont entreposĂ©s ou manipulĂ©s les produits chimiques de traitement, Ă savoir les zones de stockage des produits chimiques, les zones de traitement, de conditionnement post-traitement et de stockage provisoire comprenant les cuves de traitement, les rĂ©cipients de traitement, les portiques de dĂ©chargement/d'extraction, la zone d'Ă©gouttage/sĂ©chage, la zone de refroidissement, les conduites et canalisations acheminant les produits chimiques de traitement, ainsi que les installations de conditionnement ou de reconditionnement de la crĂ©osote sont protĂ©gĂ©es par une paroi. Les Ă©quipements de confinement ou de protection par exemple, enceinte de confinement, paroi de protection sont revĂȘtus de surfaces impermĂ©ables et sont rĂ©sistants aux produits chimiques de traitement, et dĂ©limitent des espaces de capacitĂ© suffisante pour capter et contenir les volumes traitĂ©s ou entreposĂ©s dans l'unitĂ©/les bacs de rĂ©cupĂ©ration constituĂ©s d'un matĂ©riau rĂ©sistant aux produits chimiques de traitement peuvent Ă©galement servir Ă contenir localement les produits chimiques de traitement s'Ă©gouttant ou s'Ă©chappant des Ă©quipements ou des procĂ©dĂ©s critiques c'est-Ă -dire les vannes, les orifices d'entrĂ©e/sortie des cuves de stockage, les cuves de traitement, les rĂ©servoirs doseurs, les zones de dĂ©chargement/d'extraction, la zone de manutention du bois fraĂźchement traitĂ©, la zone de refroidissement/sĂ©chage.Les liquides prĂ©sents Ă l'intĂ©rieur des zones de rĂ©tention et dans les bacs de rĂ©cupĂ©ration sont recueillis afin de rĂ©cupĂ©rer les produits chimiques de traitement en vue de leur rĂ©utilisation aprĂšs traitement. Les boues qui se forment dans le systĂšme de collecte ou en point bas sont Ă©liminĂ©es en tant que dĂ©chets impermĂ©ablesLes sols des zones qui ne sont pas sur rĂ©tention et qui sont exposĂ©es Ă de possibles coulures, dĂ©versements, rejets accidentels ou lixiviation des produits chimiques de traitement sont impermĂ©ables aux substances concernĂ©es par exemple, le bois traitĂ© est entreposĂ© sur des sols impermĂ©ables lorsque cela est exigĂ© par l'autorisation dĂ©livrĂ©e, en vertu du RPB, pour le produit de prĂ©servation du bois utilisĂ©. Les liquides rĂ©pandus sur les sols sont recueillis afin de rĂ©cupĂ©rer les produits chimiques de traitement en vue de leur rĂ©utilisation aprĂšs traitement des produits chimiques. Les boues qui se forment dans le systĂšme de collecte ou en point bas sont Ă©liminĂ©es en tant que dĂ©chets d'alarme pour les Ă©quipements considĂ©rĂ©s comme critiques »Les Ă©quipements critiques » [cf. point 3] sont munis de systĂšmes d'alarme signalant les dĂ©fauts de et dĂ©tection des fuites de substances nocives/dangereuses, provenant des rĂ©servoirs de stockage enterrĂ©s et des canalisations enterrĂ©es et tenue de registresLe recours Ă des Ă©lĂ©ments enterrĂ©s est rĂ©duit au minimum. En cas de stockage enterrĂ© de substances nocives/dangereuses, un confinement secondaire est mis en place par exemple, une enceinte de confinement Ă double paroi. Les Ă©quipements enterrĂ©s sont dotĂ©s de dispositifs de dĂ©tection des canalisations et installations de stockage souterrains font l'objet d'un contrĂŽle rĂ©gulier, fondĂ© sur les risques, en vue de dĂ©tecter les fuites Ă©ventuelles ; le cas Ă©chĂ©ant, les Ă©quipements prĂ©sentant des fuites sont rĂ©parĂ©s. Les incidents susceptibles d'entraĂźner une pollution du sol et/ou des eaux souterraines sont consignĂ©s dans un et entretien pĂ©riodiques de l'unitĂ© et des Ă©quipementsL'unitĂ© et les Ă©quipements sont rĂ©guliĂšrement inspectĂ©s et entretenus de maniĂšre Ă en garantir le bon fonctionnement ; il s'agit notamment de vĂ©rifier l'intĂ©gritĂ© et/ou l'Ă©tanchĂ©itĂ© des soupapes, des pompes, des conduites, des rĂ©servoirs, des rĂ©cipients sous pression, des bacs de rĂ©cupĂ©ration et des enceintes de confinement/murets de protection, ainsi que le bon fonctionnement des systĂšmes d' de prĂ©vention des contaminations croisĂ©esLa contamination croisĂ©e c'est-Ă -dire la contamination de zones de l'unitĂ© qui ne sont gĂ©nĂ©ralement pas en contact avec les produits chimiques de traitement est Ă©vitĂ©e par le recours Ă des techniques appropriĂ©es telles que - La conception de bacs de rĂ©cupĂ©ration afin que leurs surfaces potentiellement contaminĂ©es n'entrent pas en contact avec les chariots Ă©lĂ©vateurs ;- La conception d'Ă©quipements de dĂ©chargement pour extraire le bois traitĂ© de la cuve de traitement Ă©vitant l'entraĂźnement de produits chimiques de traitement ;- L'utilisation de systĂšmes de levage pour la manutention du bois traitĂ© ;- L'utilisation de vĂ©hicules de transport dĂ©diĂ©s aux zones potentiellement contaminĂ©es ;- Un accĂšs restreint aux zones potentiellement contaminĂ©es ;- L'utilisation d'allĂ©es piĂ©tonnes en Rejets dans l'eau et gestion des eaux Approche gĂ©nĂ©raleL'exploitant applique toutes les techniques Ă©numĂ©rĂ©es visant Ă Ă©viter la contamination des eaux de pluie et des eaux de ruissellementLes eaux de pluie et les eaux de ruissellement de surface sont tenues Ă l'Ă©cart des zones oĂč sont entreposĂ©s ou manipulĂ©s les produits chimiques de traitement et des zones oĂč du bois fraĂźchement traitĂ© est entreposĂ©, ainsi que des eaux contaminĂ©es. Ă cet effet, les techniques suivantes, au moins, sont appliquĂ©es - Canaux de drainage et/ou bordure de protection extĂ©rieure autour de l'unitĂ© ;- Couverture, au moyen de toiture avec gouttiĂšres, des zones oĂč les produits chimiques de traitement sont stockĂ©s ou manipulĂ©s c'est-Ă -dire la zone de stockage des produits chimiques de traitement, les zones de traitement, de conditionnement post-traitement et de stockage provisoire ; les conduites et canalisations de produits chimiques de traitement, les installations de reconditionnement de la crĂ©osote ;- Protection contre les intempĂ©ries par exemple, toiture, bĂąches des zones d'entreposage du bois si l'autorisation dĂ©livrĂ©e en vertu du RPB l'exige pour le produit de prĂ©servation du bois ce qui concerne les unitĂ©s existantes, l'applicabilitĂ© des canaux de drainage et d'une bordure de protection extĂ©rieure peut ĂȘtre limitĂ©e par la superficie de l' des eaux de ruissellement potentiellement contaminĂ©esLes eaux de ruissellement provenant de zones potentiellement contaminĂ©es par les produits chimiques de traitement sont collectĂ©es sĂ©parĂ©ment. Ces eaux usĂ©es collectĂ©es ne sont rejetĂ©es qu'aprĂšs application des mesures appropriĂ©es, par exemple, en matiĂšre de surveillance [cf. point de traitement [cf. technique e], de rĂ©utilisation [cf. technique c].Applicable d'une maniĂšre des eaux de ruissellement potentiellement contaminĂ©esLes eaux de ruissellement potentiellement contaminĂ©es qui ont Ă©tĂ© collectĂ©es sont utilisĂ©es pour la prĂ©paration des solutions de prĂ©servation du bois Ă base applicable aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă base aqueuse. L'applicabilitĂ© peut ĂȘtre limitĂ©e par les exigences de qualitĂ© requises pour l'utilisation des eaux de nettoyageL'eau utilisĂ©e pour laver les Ă©quipements et les rĂ©cipients est rĂ©cupĂ©rĂ©e et rĂ©utilisĂ©e pour la prĂ©paration des solutions de prĂ©servation du bois Ă base applicable aux unitĂ©s utilisant des produits chimiques de traitement Ă base des eaux usĂ©esLorsqu'une contamination des eaux de ruissellement et/ou des eaux de nettoyage collectĂ©es a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e ou est probable et que ces eaux ne sont pas utilisables, elles sont traitĂ©es dans une station appropriĂ©e de traitement des eaux usĂ©es sur place ou hors site.Applicable d'une maniĂšre en tant que dĂ©chets dangereuxLorsqu'une contamination des eaux de ruissellement et/ou des eaux de nettoyage collectĂ©es a Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©e ou est probable et que le traitement ou l'utilisation de ces eaux n'est pas faisable, ces derniĂšres sont Ă©liminĂ©es en tant que dĂ©chets d'une maniĂšre Approche complĂ©mentaire pour les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pression utilisant la crĂ©osotePour les procĂ©dĂ©s rĂ©alisĂ©s sous pression autoclaves, l'exploitant recueille les condensats issus de la dĂ©pressurisation et du fonctionnement sous vide de l'autoclave ainsi que du conditionnement ou du reconditionnement de la crĂ©osote. L'exploitant les traite sur place, aprĂšs dĂ©cantation au moyen d'un filtre Ă charbon actif ou d'un filtre Ă sable, ou les Ă©limine en tant que dĂ©chets dangereux. L'eau traitĂ©e est soit rĂ©utilisĂ©e circuit fermĂ©, soit rejetĂ©e dans le rĂ©seau public d' Emissions dans l'air rĂ©sultant de la prĂ©servation du bois et des produits dĂ©rivĂ©s du bois au moyen de crĂ©osote et/ou de produits chimiques Ă base solvantĂ©eL'exploitant confine les Ă©quipements ou les procĂ©dĂ©s Ă©metteurs, extrait les effluents gazeux et les dirige vers un systĂšme de prescriptions de l'arrĂȘtĂ© du 13 dĂ©cembre 2019 susvisĂ© sont complĂ©ment, l'exploitant respecte les VLE Gaz rĂ©siduairesL'exploitant respecte les VLE Ă la crĂ©osote et/ou traitement par produits chimiques Ă base de solvants organiques20 mgC/Nm3HAP 1Traitement Ă la crĂ©osote < 1 mg/Nm31 La VLE se rapporte Ă l'ensemble des composĂ©s suivants acĂ©naphtĂšne, acĂ©naphtylĂšne, anthracĂšne, benzoaanthracĂšne, benzoapyrĂšne, benzobfluoranthĂšne, benzog, h,iperylĂšne, benzokfluoranthĂšne, chrysĂšne, dibenzoa, hanthracĂšne, fluoranthĂšne, fluorĂšne, indĂ©no1,2,3-cdpyrĂšne, naphtalĂšne, phĂ©nanthrĂšne et Traitement thermique des effluents gazeuxL'exploitant respecte les VLE mg/Nm3CO100 mg/Nm3CH450 mg/Nm315. BruitL'exploitant applique une ou plusieurs des techniques indiquĂ©es liĂ©es au stockage et Ă la manutention des matiĂšres premiĂšresaInstallation de murs antibruit et exploitation/optimisation de l'effet d'absorption acoustique des bĂątimentsbConfinement ou confinement partiel des opĂ©rations bruyantescUtilisation de vĂ©hicules ou de systĂšmes de transport peu bruyantsdMesures de gestion du bruitTechnique liĂ©e au sĂ©chage au foureMesures de rĂ©duction du bruit pour les ventilateursL'applicabilitĂ© de ces techniques est limitĂ©e aux cas oĂč des nuisances sonores dans une zone sensible sont probables ou avĂ©rĂ©es.
L'ASN considĂšre que le choix actuellement retenu par les grands exploitants français d'un dĂ©mantĂšlement immĂ©diat est satisfaisant, dans la mesure oĂč celui-ci permet, entre autres, de ne pas en faire porter la responsabilitĂ© sur les gĂ©nĂ©rations futures. L'ASN estime en effet que le maintien dans un Ă©tat de sĂ»retĂ© satisfaisant des installations Ă l'arrĂȘt dans l'attente d'un dĂ©mantĂšlement diffĂ©rĂ© conduit Ă des dĂ©penses importantes de surveillance, de maintien en Ă©tat et Ă©ventuellement de jouvence, ainsi qu'Ă des difficultĂ©s de motivation des effectifs prĂ©sents et de perte de mĂ©moire de l'historique de l'exploitation. La stratĂ©gie d'un dĂ©mantĂšlement immĂ©diat est Ă©galement conforme aux recommandations de l'Agence internationale de l'Ă©nergie sur les stratĂ©gies d'EDF, du CEA et d'OranoLâASN instruit rĂ©guliĂšrement la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets radioactifs des grands » exploitants nuclĂ©airesEn plus du contrĂŽle quâelle rĂ©alise sur chaque installation, lâASN demande aux exploitants nuclĂ©aires les plus importants Orano, CEA, EDF dâexposer leur stratĂ©gie globale de dĂ©mantĂšlement et de gestion de leurs dĂ©chets radioactifs pour lâensemble de leurs installations. Ces stratĂ©gies sont mises Ă jour rĂ©guliĂšrement et instruites par lâASN. Cela permet Ă lâASN dâavoir une vision globale et prospective Ă plus de 10 ans des stratĂ©gies des exploitants, de sâassurer de la cohĂ©rence de ces stratĂ©gies et de lâanticipation par les exploitants des actions Ă mener pour les rĂ©aliser dans les meilleures conditions. Cette vision est indispensable afin notamment dâanticiper les besoins de crĂ©ation dâinstallations dâentreposage de dĂ©chets radioactifs ex ICEDA, de dĂ©veloppement de nouveaux types de conditionnement ou de conteneurs de transports, ou encore les moyens Ă prĂ©voir pour la rĂ©alisation des des retards sur le programme de dĂ©mantĂšlement de la 1Ăšre gĂ©nĂ©ration de centrales nuclĂ©aires La stratĂ©gie initiale d'EDF pour le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs nuclĂ©aires de premiĂšre gĂ©nĂ©ration, mise en Ćuvre depuis les annĂ©es 1980, consistait Ă rĂ©aliser le dĂ©mantĂšlement des installations hors bĂątiment du rĂ©acteur rapidement aprĂšs l'arrĂȘt de la centrale en pratique, dans un dĂ©lai de 5 Ă 10 ans et Ă diffĂ©rer le dĂ©mantĂšlement du bĂątiment du rĂ©acteur conduisant Ă la libĂ©ration totale et inconditionnelle du site pendant une durĂ©e de 25 Ă 50 ans aprĂšs l'arrĂȘt de la dĂ©mantĂšlement complet des installations Ă©tait alors envisagĂ© par EDF aprĂšs plusieurs dizaines d'annĂ©es de confinement afin de pouvoir bĂ©nĂ©ficier de la dĂ©croissance naturelle de la avait Ă©mis des doutes quant Ă la capacitĂ© d'EDF Ă dĂ©montrer la tenue mĂ©canique des installations et plus particuliĂšrement les structures de gĂ©nie civil, pendant cette durĂ©e. En avril 2001, EDF a informĂ© l'ASN d'une profonde modification de sa stratĂ©gie quant au dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de premiĂšre gĂ©nĂ©ration en retenant dĂ©sormais un programme de dĂ©mantĂšlement complet et immĂ©diat sur 25 ans, sans pĂ©riode d'attente Ă l'horizon 2025. EDF a programmĂ© en prioritĂ© le dĂ©mantĂšlement, dans un premier temps, des silos de Saint-Laurent-des-Eaux, de l'installation EL4-D sur le site des Monts d'ArrĂ©e, de SuperphĂ©nix, de Chooz A et de Bugey 1, et, dans un second temps, le dĂ©mantĂšlement des 5 rĂ©acteurs de la filiĂšre UNGG Uranium Naturel Graphite Gaz de Chinon A et Saint-Laurent-des-Eaux stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement dâEDF remise en avril 2001, qui prĂ©sentait un programme permettant dâengager le dĂ©mantĂšlement des centrales de premiĂšre gĂ©nĂ©ration dont lâachĂšvement Ă©tait prĂ©vu Ă lâhorizon 2036, a fait lâobjet dâun examen par le Groupe permanent dâexperts GPE compĂ©tent en mars 2004. Sur la base de cet examen, lâASN a conclu en 2004 lettre DGSNR/SD3/n°0459-2004 du 28 juin 2004 que la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de premiĂšre gĂ©nĂ©ration retenue par EDF ainsi que le programme et lâĂ©chĂ©ancier Ă©taient acceptables du point de vue de la sĂ»retĂ© et de la radioprotection sous rĂ©serve de la prise en compte dâun certain nombre de demandes et du respect des engagements pris par EDF sur les questions de faisabilitĂ© du dĂ©mantĂšlement, de sĂ»retĂ©, de radioprotection, de gestion des dĂ©chets et des a transmis, en juillet 2009, une mise Ă jour de sa stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement. Le dossier comprend un point sur lâavancement du programme de dĂ©construction et prĂ©sente les grands jalons Ă venir. LâĂ©tat des rĂ©flexions sur la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement du parc en exploitation actuel est a considĂ©rĂ© que la stratĂ©gie Ă©tait globalement convenable dans ses principes mais nĂ©cessitait certains complĂ©ments, notamment concernant les solutions alternatives pour la gestion des dĂ©chets de graphite. LâASN a en particulier insistĂ© sur lâimportance de ne pas conditionner le dĂ©mantĂšlement des caissons des rĂ©acteurs UNGG Ă la mise en service du centre de stockage des dĂ©chets de type faible activitĂ© Ă vie longue et dâenvisager la possibilitĂ© dâentreposages demandĂ© par lâASN Courrier CODEP-DRC-2012-002702, EDF a transmis une mise Ă jour de la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement de ses rĂ©acteurs en octobre 2013. LâASN avait demandĂ© au prĂ©alable Ă EDF dâinclure dans ce dossier une Ă©tude des solutions alternatives pour la gestion des dĂ©chets de graphite afin de ne pas conditionner davantage le dĂ©mantĂšlement des caissons des rĂ©acteurs UNGG Ă la mise en service du centre de stockage des dĂ©chets de type faible activitĂ© Ă vie longue FA-VL. En effet, elle note que, dans le cadre du dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de type UNGG, la question de lâexutoire pour les dĂ©chets de graphite est une difficultĂ© pour la bonne mise en Ćuvre de cette stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement immĂ©diat. Le collĂšge de lâASN a auditionnĂ© EDF sur cette question le 9 dĂ©cembre dossier a fait l'objet d'un examen par le groupe permanent dâexperts en juin 29 mars 2016, l'ASN a auditionnĂ© EDF qui a prĂ©sentĂ© une nouvelle stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de type UNGG ». Cette nouvelle stratĂ©gie conduit Ă dĂ©caler de plusieurs dĂ©cennies le dĂ©mantĂšlement de certains rĂ©acteurs au regard de la stratĂ©gie affichĂ©e par EDF en 2001 et mise Ă jour en a adressĂ© en juillet 2016 Ă EDF un courrier de demandes complĂ©mentaires afin notamment de vĂ©rifier lâacceptabilitĂ© de la nouvelle stratĂ©gie au regard des exigences lĂ©gislatives relatives au dĂ©mantĂšlement dans un dĂ©lai aussi court que possible ».EDF a transmis ces Ă©lĂ©ments en 2017. LâASN les a instruits et envisage dâencadrer le dĂ©mantĂšlement des UNGG par dĂ©cision. Le projet de dĂ©cision impose Ă EDF de rĂ©aliser les opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement qui peuvent dâores et dĂ©jĂ lâĂȘtre et de dĂ©poser, au plus tard en 2022, les dossiers de modification de dĂ©mantĂšlement qui sâimposent. Il prĂ©cise le contenu des scĂ©narios qui devront ĂȘtre Ă©tudiĂ©s dans ces dossiers. En savoir plus Consulter la note d'information sur l'audition d'EDF sur les projets de dĂ©cision visant Ă encadrer le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de premiĂšre gĂ©nĂ©ration de type uranium naturel graphite-gazConsulter la note d'information publiĂ©e le 2 juin 2016 aprĂšs audition d'EDF sur la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de 1Ăšre gĂ©nĂ©ration "UNGG"Consulter le courrier adressĂ© par l'ASN en juillet 2016, prĂ©cisant ses exigences sur le changement de stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de 1Ăšre gĂ©nĂ©ration "UNGG" par EDFConsulter la note dâinformation sur le projet de dĂ©cision encadrant le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs UNGG dâEDFConsulter la note d'information sur l'audition d'EDF sur le dĂ©mantĂšlement des rĂ©acteurs de 1Ăšre gĂ©nĂ©ration "UNGG" consĂ©cutive Ă l'audition du 30 juin 2017La stratĂ©gie du CEA lâASN constate des difficultĂ©s du CEA dans la mise en Ćuvre de la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement immĂ©diat et complet A la demande de l'ASN, le CEA a transmis en 2004 un plan de dĂ©mantĂšlement Ă 10 ans de ses installations. Ce plan concerne des installations de nature variĂ©e laboratoires, usines pilotes, rĂ©acteurs expĂ©rimentaux, installations de traitement d'effluents et dĂ©chets rĂ©parties sur l'ensemble des sites. Ce dossier a Ă©tĂ© soumis aux groupes permanents d'experts compĂ©tents en dĂ©cembre 2006. L'ASN avait considĂ©rĂ© que la stratĂ©gie retenue par le CEA, soutenue par la mise en place d'un fonds dĂ©diĂ© Ă©tait globalement satisfaisante du point de vue de la tenu des retards rĂ©currents et du report de plusieurs Ă©chĂ©ances dans les opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement sur certaines installations, le CEA a transmis en 2011, sur demande de lâASN, un rapport dâĂ©tape prĂ©sentant la mise Ă jour de cette stratĂ©gie,justifiant les Ă©chĂ©ances retenues et prĂ©cisant les raisons, de nature technique ou non, Ă lâorigine des retards constatĂ©s. En rĂ©ponse, lâASN a rappelĂ© en novembre 2011 sa position concernant la prioritĂ© donnĂ©e au dĂ©mantĂšlement immĂ©diat, les niveaux dâassainissement Ă atteindre, le recours aux servitudes dâutilitĂ© publique et a rappelĂ© les objectifs calendaires associĂ©s Ă certaines opĂ©rations de CEA nâayant pas transmis de mise Ă jour de sa stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement, lâASN a demandĂ© au CEA en juillet 2015, avec lâASND, quâune mise Ă jour de la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets du CEA lui soit transmise en 2016. Le CEA a transmis, en dĂ©cembre 2016, le rĂ©sultat de ces travaux. Compte tenu du nombre et de la complexitĂ© des opĂ©rations Ă rĂ©aliser pour lâensemble des installations nuclĂ©aires concernĂ©es, le CEA a dĂ©fini des prioritĂ©s, reposant principalement sur lâanalyse des potentiels de danger, afin de diminuer les risques prĂ©sentĂ©s par ces installations. LâASN et lâASND estiment quâil apparaĂźt acceptable, compte tenu des moyens allouĂ©s par lâĂtat, et du nombre important dâinstallations en dĂ©mantĂšlement, pour lesquelles des capacitĂ©s de reprise de dĂ©chets anciens, ainsi que dâentreposage, devront ĂȘtre construites, que le CEA envisage un Ă©chelonnement des opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement. Cet Ă©chelonnement permet de limiter le coĂ»t annuel des opĂ©rations, mais, compte tenu des actions nĂ©cessaires pour surveiller et maintenir dans un Ă©tat de sĂ»retĂ© suffisant les installations les moins prioritaires, augmente le coĂ»t au vu des calendriers prĂ©visionnels prĂ©sentĂ©s, mĂȘme en lâabsence dâalĂ©as et de retards sur les projets, la rĂ©duction des risques ne sera pas effective avant, au mieux, une dizaine dâannĂ©es. En effet, de nombreux projets de RCD, classĂ©s prioritaires, nĂ©cessitent la crĂ©ation ou la rĂ©novation prĂ©alable de moyens de reprise, de conditionnement et dâentreposage des matiĂšres et des dĂ©chets radioactifs, ainsi que de transport associĂ©s. Aussi, malgrĂ© lâorganisation pertinente mise en place par le CEA rĂ©cemment pour gĂ©rer son programme de dĂ©mantĂšlement dans la durĂ©e, lâASN et lâASND sâinterrogent sur la robustesse du plan dâaction du CEA et les moyens disponibles, tant humains que financiers, pour traiter au plus tĂŽt lâensemble des situations prĂ©sentant les enjeux de sĂ»retĂ© ou les nuisances pour lâenvironnement les plus importants. Les deux autoritĂ©s constatent plusieurs fragilitĂ©s dans la stratĂ©gie du CEA, du fait notamment de la mutualisation entre centres envisagĂ©e par exemple pour la gestion des effluents radioactifs aqueux ou des dĂ©chets radioactifs solides, conduisant Ă ne disposer, pour certaines opĂ©rations, que dâune seule installation. Cette stratĂ©gie induit, dâune part, une forte augmentation du nombre de transports et, dâautre part, de fortes incertitudes relatives Ă la disponibilitĂ© des installations de traitement, de conditionnement et dâentreposage des matiĂšres et dĂ©chets radioactifs, ainsi que des emballages de transport. Les deux autoritĂ©s notent aussi des incertitudes relatives Ă la gestion des combustibles usĂ©s ou des matiĂšres irradiĂ©es, qui devra ĂȘtre et lâASND ont donc fait plusieurs demandes au CEA visant Ă limiter ces fragilitĂ©s, Ă consolider sa stratĂ©gie et Ă prĂ©ciser le calendrier de rĂ©alisation. Elles demandent que le CEA rende compte rĂ©guliĂšrement de lâavancement des projets de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets, et quâune communication rĂ©guliĂšre vis-Ă -vis du public soit rĂ©alisĂ©e, suivant les modalitĂ©s appropriĂ©es Ă la nature des installations, civiles ou de dĂ©fense. Elles souhaitent, enfin, que soient mises en Ćuvre des dispositions de contrĂŽle particuliĂšres quant Ă lâavancement de ces projets. En savoir plus Consulter la note d'information sur la prise de position conjointe de lâASN et lâASND sur la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement et de gestion des matiĂšres et dĂ©chets du CEALa stratĂ©gie du groupe Orano ex AREVA NCPour ce qui concerne Orano ex AREVA NC, la stratĂ©gie de gestion des dĂ©chets de lâĂ©tablissement de La Hague a fait lâobjet dâun examen par le groupe permanent dâexperts rĂ©uni par lâASN en 2005. En janvier 2006, par courrier Lettre DGSNR/SD3/0036/2006 du 11 janvier 2006, lâASN a fait part de sa position sur cette stratĂ©gie. La stratĂ©gie de gestion des dĂ©chets sur le pĂ©rimĂštre de lâINBS AREVA NC du Tricastin a Ă©galement fait lâobjet dâun examen en 2012 par la commission de sĂ»retĂ© pour les laboratoires, usines et dĂ©chets. En dĂ©cembre 2012, lâASND a fait part Ă AREVA NC de sa position sur cette la stratĂ©gie de dĂ©mantĂšlement des installations du site de La Hague, elle a fait lâobjet dâun examen par lâASN le GP en 2011 Ă lâoccasion de lâinstruction des dossiers de demande dâautorisation de mise Ă lâarrĂȘt dĂ©finitif et de dĂ©mantĂšlement MAD DEM des anciennes usines de La Hague. Cette instruction a conduit Ă la publication en novembre 2013 de trois dĂ©crets dâautorisation de MAD dĂ©mantĂšlement dâinstallations anciennes constitue un enjeu majeur pour Orano qui doit mener, Ă court, moyen et long termes, plusieurs projets de dĂ©mantĂšlement de grande envergure usine UP2-400 de La Hague, usine Eurodif Production, installations de lâINBS de Pierrelatte,âŠ. La mise en Ćuvre de ces projets est Ă©troitement liĂ©e Ă la stratĂ©gie de gestion des dĂ©chets compte tenu de la quantitĂ© et du caractĂšre non standard et difficilement caractĂ©risable des dĂ©chets gĂ©nĂ©rĂ©s lors des opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement. De plus, les opĂ©rations de prĂ©paration Ă la mise Ă lâarrĂȘt dĂ©finitif nĂ©cessitent lâĂ©vacuation des dĂ©chets de fonctionnement prĂ©sents dans lâinstallation. Dans certains cas, par exemple pour des installations anciennes dâentreposage de dĂ©chets exploitĂ©es sur le site de La Hague, des opĂ©rations de reprise et de conditionnement des dĂ©chets anciens RCD doivent ĂȘtre lâASN et lâASND ont dĂ©cidĂ© dâexaminer Ă lâĂ©chelle nationale les orientations stratĂ©giques envisagĂ©es par Orano pour la gestion de lâensemble de ses dĂ©chets et pour le dĂ©mantĂšlement de ses installations. Ces stratĂ©gies doivent ĂȘtre cohĂ©rentes avec les orientations nationales du Plan national de gestion des matiĂšres et dĂ©chets radioactifs, les dispositions de lâarrĂȘtĂ© du 7 fĂ©vrier 2012, les codes de lâenvironnement, de la dĂ©fense, de la santĂ© publique et du travail et les diffĂ©rentes stratĂ©gies dâexploitation de lâensemble des installations du groupe Orano. Ces stratĂ©gies sâappliquent tant aux installations civiles quâaux installations secrĂštes exploitĂ©es par le Groupe. Elles ont Ă©tĂ© transmises par Orano en juin 2016. LâASN estime quâOrano doit renforcer sa capacitĂ© Ă prioriser les opĂ©rations en fonction des enjeux des installations Ă dĂ©manteler. Les moyens humains et techniques dâOrano doivent ĂȘtre renforcĂ©s pour respecter les Ă©chĂ©ances de ces projets. LâASN et lâASND ont mobilisĂ© une expertise importante pour lâinstruction de cette stratĂ©gie et prendront position en 2019 sur ce sur l'historique des stratĂ©gies de dĂ©mantĂšlement en FranceDĂ©but des annĂ©es 1960 premiĂšres opĂ©rations d'assainissement et de dĂ©mantĂšlement d'installations nuclĂ©airesAnnĂ©es 1960-1970 dĂ©mantĂšlement de quelques laboratoires de recherche, rĂ©acteurs expĂ©rimentaux et installations du cycle du combustibleA partir du milieu des annĂ©es 1980 plusieurs rĂ©acteurs de puissance sont partiellement dĂ©mantelĂ©s ou ont entamĂ© des travaux de dĂ©mantĂšlement completAnnĂ©es 1980-1990 dĂ©mantĂšlement ponctuel de certaines installations principalement de rechercheA partir de la fin des annĂ©es 1990 les opĂ©rations de dĂ©mantĂšlement entrent dans une phase industrielle, employant des technologies et des mĂ©thodologies Ă©prouvĂ©es sur de plus grandes Ă©chellesA partir de 1997 changements importants de stratĂ©gie chez les grands exploitants nuclĂ©aires français2006 lois TSN et dĂ©chets » mettant en Ćuvre un mĂ©canisme de provisionnement des charges de dĂ©mantĂšlement et de gestion des dĂ©chets. Consulter la loi dĂ©chets »2015 loi relative Ă la transition Ă©nergĂ©tique pour la croissance verte qui inscrit dans la loi le principe du dĂ©mantĂšlement immĂ©diat
analyse scientifique et technique d une installation